février 2014
«Etre rémunéré est un sacré plus»
A 24 et 22 ans, Loïc et Baptiste étudient la vente en apprentissage.
Photo Yves Petit
L’Institut supérieur d’apprentissage des CCI a cette particularité de ne pas avoir de murs. C’est une structure administrative qui regroupe environ 230 élèves en commerce, gestion et management de toute la région. Ils apprennent leur futur métier dans les écoles liées aux chambres de commerce et d’industrie et dans les entreprises qui les accueillent en apprentissage. Loïc et Baptiste sont deux d’entre eux. Le premier est en 3e année RMD (responsable manager de la distribution).
«Allier l’école et l’expérience en entreprise me plaît. En entreprise, on essaie d’appliquer ce qu’on apprend. L’an dernier, j’étais chez Décathlon, cette année à Castorama. Cela me permet de voir des façons de travailler différentes, d’apprendre d’autres méthodes».
Baptiste se trouve lui aussi dans un système qui lui convient : «Un employeur qui donne des bases autres que les théories apprises en cours, ça se complète bien». Vésulien, il est en 2e année à l’ECD de Besançon. Il est employé au rayon électroménager de Leclerc à Pusey. L’ECD peut aussi être suivie avec un statut d’étudiant. Mais pour l’un et l’autre, la comparaison est rapide. «Etre rémunéré est un sacré plus et nos études sont financées par l’entreprise alors que les étudiants doivent payer. On se sent plus autonomes». En contrepartie, «le rythme est plus soutenu. Entre l’entreprise, l’école, la vie sociale et la préparation des examens, notre emploi du temps est bien rempli». Ils savent pourquoi : l’un et l’autre espèrent un jour ou l’autre devenir directeur d’enseigne.
S.P.
«Allier l’école et l’expérience en entreprise me plaît. En entreprise, on essaie d’appliquer ce qu’on apprend. L’an dernier, j’étais chez Décathlon, cette année à Castorama. Cela me permet de voir des façons de travailler différentes, d’apprendre d’autres méthodes».
Baptiste se trouve lui aussi dans un système qui lui convient : «Un employeur qui donne des bases autres que les théories apprises en cours, ça se complète bien». Vésulien, il est en 2e année à l’ECD de Besançon. Il est employé au rayon électroménager de Leclerc à Pusey. L’ECD peut aussi être suivie avec un statut d’étudiant. Mais pour l’un et l’autre, la comparaison est rapide. «Etre rémunéré est un sacré plus et nos études sont financées par l’entreprise alors que les étudiants doivent payer. On se sent plus autonomes». En contrepartie, «le rythme est plus soutenu. Entre l’entreprise, l’école, la vie sociale et la préparation des examens, notre emploi du temps est bien rempli». Ils savent pourquoi : l’un et l’autre espèrent un jour ou l’autre devenir directeur d’enseigne.
S.P.
RenseignementsInstitut supérieur d'apprentissage des CCI de Franche-Comté
Valparc - Zac Valentin
25043 Besançon cedex
03 81 47 42 17
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novembre 2024
C'est le nom d'une formation professionnelle de danseur interprète hip-hop, créée il y a 3 ans par le conservatoire à rayonnement régional du Grand Chalon. Infos ici.
Métiers du son
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Parmi ses spécificités, le conservatoire du Grand Chalon dispose d'une section "prépa son" en lien avec les classes préparatoires aux grandes écoles physique technologie sciences de l'ingénieur (PTSI) au lycée Niépc. Cette option métiers du son, qui demande des compétences en maths, physique et musique, prépare aux concours des écoles en métiers du son. Le conservatoire compte 2 classes de 8, aux emplois du temps chargés mais efficaces : 100 % de réussite depuis 10 ans.
Obligation de formation
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Vous avez entre 16 et 18 ans et êtes sans école, formation ou emploi ? Des professionnels vous écoutent et vous accompagnent au 0800 122 500. Numéro vert gratuit du lundi au vendredi.
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Un nouvel outil proposé par la Région Bourgogne-Franche-Comté permet d’accéder à des offres selon son profil (collégiens, lycéens, étudiants et demandeurs d’emploi, salariés en reconversion…) dans des secteurs d’activités variés, dans toute la région Bourgogne-Franche-Comté. Stages de 3e, mini-stages, périodes de mise en situation en milieu professionnel ou de formations en milieu professionnel, etc. sont accessibles en s'inscrivant ici.
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À la rentrée 2023, quatre nouvelles Écoles de production ouvrent en Côte-d’Or (Dijon), dans la Nièvre (Moulins-Engilbert), en Saône-et-Loire (Le Creusot) et dans le Territoire de Belfort (Cravanche). Elles proposent des formations dans des secteurs qui recrutent en région Bourgogne-Franche-Comté : la scierie et l’industrie métallurgique. Pour les jeunes qui n’ont pas forcément un profil scolaire classique, qui préfèrent suivre une formation concrète et manuelle et souhaitent travailler immédiatement, ces écoles sont basées sur une pédagogie différente : « faire pour apprendre ». En savoir + Voir tout
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