mai 2013
Informer les jeunes en 2013
Photo Yves Petit
Le Centre régional d’information jeunesse de Franche-Comté a 30 ans. Entre 1983 et 2013, les préoccupations des jeunes n’ont pas tellement changé : comment s’orienter ? Où se former ? Comment chercher et trouver un emploi ? Comment se loger ? Comment passer le permis de conduire ? Se déplacer ou partir en vacances avec un petit budget ? Où pratiquer tel ou tel sport ? Que faire ce week-end ? Ces questions demeurent pour les jeunes d’aujourd’hui.
Ce qui a changé, en revanche, ce sont les modes d’information. Entre 1983 et 2013, le monde a connu un bouleversement médiatique sans précédent dans un laps de temps réduit. En 1983, il n’y avait pas d’Internet ni de téléphones mobiles. Aujourd’hui, le premier réflexe pour répondre à une question est de se tourner vers un moteur de recherche. Toutes les réponses sont sur la toile. Encore faut-il savoir s’y retrouver. L’un des effets négatifs d’internet est son foisonnement. Il fournit des réponses, mais quelle est la bonne ? Celui qui cherche un lieu de formation, un organisme de séjour linguistique va sûrement trouver le mieux référencé. Mais est-il sûr qu’il est le plus adapté à sa demande ou qu’il correspond à la meilleure solution ? Internet apporte la connaissance de ce qui existe. Du point de vue qualitatif et de la personnalisation des réponses, la présence d’un professionnel pour servir de guide et affiner les questions est sans doute encore indispensable. J’ajoute que même s’il y a beaucoup d’interactivité sur le net, la présence humaine reste gage d’écoute, de dialogue, de réactivité, de conseils beaucoup plus efficaces et sensibles.
Ce n’est pas la seule pertinence de l’information jeunesse en 2013. Elle est également lieu d’une proximité avec les jeunes. Le Crij a vu le jour à Besançon, très vite suivi de la volonté de développer un réseau sur le territoire franc-comtois. Aujourd’hui, ce réseau compte 23 structures qui accueillent chaque année 150 000 jeunes de la région, de manière anonyme et gratuite. L’IJ, c’est ensuite des outils pour les accompagner. En 1983, le Crij était un centre de documentation. Ce dernier est toujours présent, au cœur des réponses à donner aux jeunes. En 30 ans, il s’y est adjoint d’autres services : carte Avantages jeunes, logement, jobs, mobilité, aide à projet, journal TOPO. Et un portail de la jeunesse, qui complète la documentation en s’adaptant aux modes d’information des jeunes. En conclusion, je n’ai qu’un conseil à vous donner, profitez activement des ressources que vous propose le Crij.
Abdel Ghezali, président du Crij de Franche-Comté
Ce qui a changé, en revanche, ce sont les modes d’information. Entre 1983 et 2013, le monde a connu un bouleversement médiatique sans précédent dans un laps de temps réduit. En 1983, il n’y avait pas d’Internet ni de téléphones mobiles. Aujourd’hui, le premier réflexe pour répondre à une question est de se tourner vers un moteur de recherche. Toutes les réponses sont sur la toile. Encore faut-il savoir s’y retrouver. L’un des effets négatifs d’internet est son foisonnement. Il fournit des réponses, mais quelle est la bonne ? Celui qui cherche un lieu de formation, un organisme de séjour linguistique va sûrement trouver le mieux référencé. Mais est-il sûr qu’il est le plus adapté à sa demande ou qu’il correspond à la meilleure solution ? Internet apporte la connaissance de ce qui existe. Du point de vue qualitatif et de la personnalisation des réponses, la présence d’un professionnel pour servir de guide et affiner les questions est sans doute encore indispensable. J’ajoute que même s’il y a beaucoup d’interactivité sur le net, la présence humaine reste gage d’écoute, de dialogue, de réactivité, de conseils beaucoup plus efficaces et sensibles.
Ce n’est pas la seule pertinence de l’information jeunesse en 2013. Elle est également lieu d’une proximité avec les jeunes. Le Crij a vu le jour à Besançon, très vite suivi de la volonté de développer un réseau sur le territoire franc-comtois. Aujourd’hui, ce réseau compte 23 structures qui accueillent chaque année 150 000 jeunes de la région, de manière anonyme et gratuite. L’IJ, c’est ensuite des outils pour les accompagner. En 1983, le Crij était un centre de documentation. Ce dernier est toujours présent, au cœur des réponses à donner aux jeunes. En 30 ans, il s’y est adjoint d’autres services : carte Avantages jeunes, logement, jobs, mobilité, aide à projet, journal TOPO. Et un portail de la jeunesse, qui complète la documentation en s’adaptant aux modes d’information des jeunes. En conclusion, je n’ai qu’un conseil à vous donner, profitez activement des ressources que vous propose le Crij.
Abdel Ghezali, président du Crij de Franche-Comté
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express
Aide au logement pour les jeunes alternants
novembre 2024
L’aide Mobili-jeune est une aide financière gratuite, renouvelable et pouvant atteindre jusqu’à 100 € par mois, pour financer une partie du loyer. Elle s’adresse aux alternants de moins de 30 ans gagnant au plus 120 % du smic. Elle est octroyée pour un rapprochement du lieu de travail soit avec un nouveau logement à plus de 70 km de l’ancienne adresse, soit en justifiant d'une double charge de loyer (occuper deux logements sur la même période). La prise en charge peut aller jusqu’à 1 100 € maximum sur 11 mois, par année de formation (aide possible sur deux années de formation, consécutives ou non, soit deux fois 11 mois). Le dépôt de la demande doit être réalisé 3 mois avant ou 5 mois après le démarrage du contrat. Détails et éligibilité sur mobilijeune.actionlogement.fr.
Violences contre les femmes
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Les violences sexistes et sexuelles, conjugales ou non, sont interdites par la loi. Sur un site dédié, le grouvernement rappellent quelles formes elles prennent et proposent des outis pour agir, que l'on soit victime, témoin ou professionnel susceptible d’intervenir auprès des femmes. arretonslesviolences.gouv.fr
Les 1000 premiers jours d'une vie
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Devenir parent est un changement au cours duquel beaucoup de questions peuvent se poser. Le site 1000 premiers jours répond aux principales interrogations, délivre des conseils et donne des infos pratiques sur tous les thèmes du quotidien (alimentation, santé, hygiène...) mais aussi les gestes liés à l'environnement et les possibilités d'être accompagné.
Etudiants en difficulté
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Un tarif de repas à 1€ peut être accordé aux étudiants en situation de précarité, même s’ils ne sont pas boursiers, après une évaluation sociale. Pour faire la demande, c'est ici.
Projets prévention clés en main
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