mai 2015
Je suis conseillère en banque
Julie Berçot, 24 ans, est en CDI au Crédit Mutuel, à Besançon. Après avoir débuté comme conseillère accueil, elle évolue vers une fonction de conseillère clientèle.
Photo Yves Petit
Parcours
Au lycée, j’avais l’idée de m’orienter vers la puériculture mais j’avais aussi la banque en tête et finalement c’est ce choix qui l’a emporté. J’ai passé un bac STG puis j’ai suivi un BTS banque au lycée Ledoux, qui s’est très bien passé. J’ai apprécié de pouvoir mettre la théorie en pratique car on avait 12 semaines et un jour hebdomadaire de stage que j’ai effectué au Crédit Mutuel. Le BTS nous donne les bases, le cadre juridique, la connaissance des produits et des techniques bancaires, des crédits. Quand j’ai eu mon BTS, je suis entrée à l’agence de Montrapon pour suivre le parcours « jeune embauché ». Cela correspond à 16 mois au cours desquels on reçoit de nombreuses formations de 2 ou 3 jours par mois, sur des thèmes spécifiques : les produits, la téléphonie, l’accueil… Si tout se passe bien, on est embauché.
Métier
Je suis à l’agence de Montrapon depuis 3 ans. J’ai d’abord surtout fait du guichet. On commence obligatoirement à l’accueil car c’est le plus formateur. Ensuite, on peut évoluer. Actuellement, je suis engagée dans une formation interne de 2 ans pour apprendre à gérer un portefeuille de clients et devenir conseillère clientèle. Le métier est assez ouvert, mais il faut travailler. Même chose pour l’évolution : si on est motivé, elle peut se faire rapidement car on a toujours accès à des formations au fil de la carrière.
Pour résumer une journée-type, j’arrive vers 8 h 15, je consulte mon agenda, je prépare les rendez-vous de la journée. Je regarde les mails, les tâches que les collègues m’ont transmis comme d’éventuelles relances ou rappels téléphoniques. Ensuite, je commence mes rendez-vous de la journée, jusqu’à 18 h.
Qualités requises
C’est un métier relationnel. A l’accueil, on représente l’image de la banque, il faut donc être souriant. Il faut savoir écouter les clients, avoir le sens du contact, ce qui n’est pas toujours évident parce qu’il faut parfois gérer des conflits. Il faut aussi maîtriser les outils pour savoir apporter des réponses professionnelles. Le cas échéant, il faut savoir faire appel à un collègue si l’on n’a pas la réponse car on a chacun ses domaines de prédilection. C’est un métier où il faut se tenir constamment au fait des évolutions de la fiscalité, des lois de finances, des produits que nous proposons.
J’aime mon métier donc je trouve que c’est un beau métier même si ce n’est pas toujours évident. Une renégociation de prêt, ce n’est pas facile. Mais je le conseille. On voit plein de choses. Pour les jeunes motivés, il n’y a pas de problème.
Au lycée, j’avais l’idée de m’orienter vers la puériculture mais j’avais aussi la banque en tête et finalement c’est ce choix qui l’a emporté. J’ai passé un bac STG puis j’ai suivi un BTS banque au lycée Ledoux, qui s’est très bien passé. J’ai apprécié de pouvoir mettre la théorie en pratique car on avait 12 semaines et un jour hebdomadaire de stage que j’ai effectué au Crédit Mutuel. Le BTS nous donne les bases, le cadre juridique, la connaissance des produits et des techniques bancaires, des crédits. Quand j’ai eu mon BTS, je suis entrée à l’agence de Montrapon pour suivre le parcours « jeune embauché ». Cela correspond à 16 mois au cours desquels on reçoit de nombreuses formations de 2 ou 3 jours par mois, sur des thèmes spécifiques : les produits, la téléphonie, l’accueil… Si tout se passe bien, on est embauché.
Métier
Je suis à l’agence de Montrapon depuis 3 ans. J’ai d’abord surtout fait du guichet. On commence obligatoirement à l’accueil car c’est le plus formateur. Ensuite, on peut évoluer. Actuellement, je suis engagée dans une formation interne de 2 ans pour apprendre à gérer un portefeuille de clients et devenir conseillère clientèle. Le métier est assez ouvert, mais il faut travailler. Même chose pour l’évolution : si on est motivé, elle peut se faire rapidement car on a toujours accès à des formations au fil de la carrière.
Pour résumer une journée-type, j’arrive vers 8 h 15, je consulte mon agenda, je prépare les rendez-vous de la journée. Je regarde les mails, les tâches que les collègues m’ont transmis comme d’éventuelles relances ou rappels téléphoniques. Ensuite, je commence mes rendez-vous de la journée, jusqu’à 18 h.
Qualités requises
C’est un métier relationnel. A l’accueil, on représente l’image de la banque, il faut donc être souriant. Il faut savoir écouter les clients, avoir le sens du contact, ce qui n’est pas toujours évident parce qu’il faut parfois gérer des conflits. Il faut aussi maîtriser les outils pour savoir apporter des réponses professionnelles. Le cas échéant, il faut savoir faire appel à un collègue si l’on n’a pas la réponse car on a chacun ses domaines de prédilection. C’est un métier où il faut se tenir constamment au fait des évolutions de la fiscalité, des lois de finances, des produits que nous proposons.
J’aime mon métier donc je trouve que c’est un beau métier même si ce n’est pas toujours évident. Une renégociation de prêt, ce n’est pas facile. Mais je le conseille. On voit plein de choses. Pour les jeunes motivés, il n’y a pas de problème.
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express
Ambulancier
décembre 2022
Pour rendre le métier attractif et pallier le manque de professionnels, la nouvelle formation d’ambulancier est entrée en vigueur en septembre, marquant une volonté de reconnaître l’importance du rôle tenu par l’ambulancier en tant que professionnel de santé et du transport sanitaire. Le cursus dure un peu moins de 6 mois et comprend 3 stages. De nouveaux référentiels d’activités, de compétences et de formation ont été établis autour de 7 domaines d’activités : prise en soin d’un patient, réalisation d’un recueil de données cliniques du patient, contrôle et entretien du véhicule, contrôle et entretien des matériels, équipements et installations du véhicule, traçabilité des informations liées au patient, travail en équipe, traçabilité et transmission de savoir-faire issus de la pratique professionnelle. Concrètement, l’ambulancier aura de nouvelles compétences et pourra notamment réaliser certains soins d’urgence. Pour la formation, certains candidats peuvent bénéficier d’une équivalence ou d’un allègement selon leurs diplômes ou certificats. En savoir +
Finales nationales 2022
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Les finales nationales se sont déroulées dans 64 métiers différents de 7 pôles (alimentation, automobile et engins, communication, végétal, BTP, industrie, service) et ont rassemblé près de 600 compétiteurs à Eurexpo Lyon. Cette ville devrait recevoir la compétition mondiale 2024.
46es wordskills
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Métiers de demain
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La chaîne parcoursmetiers.tv lance une série sur "les métiers de demain". Un chiffre : pour 85 % des élèves actuellement scolarisés, le métier qu'ils exerceront en 2030 n'existerait pas encore. Dans le premier épisode, le métier de thérapeute en désintoxication digitale est à l'honneur. Ce métier d'avenir se développe pour lutter contre les nouvelles addictions à Internet.
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L'Etat lance une campagne pour recruter des jeunes. Destinée à mieux faire connaître et valoriser la diversité de la fonction publique, tant en termes de secteurs, que de carrières, cette initiative titrée « travailler pour l’Etat ce n’est pas ce que tu crois » est née d'un constat paradoxal : « La fonction publique souffre d’un déficit de visibilité et d’attractivité auprès des jeunes, le nombre de candidatures aux concours ayant été divisé par deux entre 1995 et aujourd’hui. Le désir d’engagement des jeunes au service de tous, en particulier dans le milieu associatif, atteint pourtant des records. » Cette année, la fonction publique propose par exemple 100 000 postes aux jeunes. Pour les connaître : #Rejoins le service public sur les réseaux sociaux et fonction-publique.gouv.fr. Voir tout
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