octobre 2014
Je suis ingénieur commercial dans l’informatique
Mikaël Joly a grandi entre Besançon et Dole et s’est orienté très tôt vers l’informatique. A 26 ans, il a été embauché par OCI qui a ouvert un bureau dans la capitale comtoise en début d’année.
Photo Laurent Cheviet
Parcours
A la sortie du collège, je me suis dirigé vers l’informatique parce que j’aimais bien jouer ou réparer les ordinateurs. J’ai passé un bac pro informatique en alternance avec le CFB (Centre de formation de Bourgogne – Franche-Comté), avec comme structure d’accueil professionnel le lycée Pergaud. Ensuite j’ai enchaîné avec un BTS informatique de gestion, toujours en alternance, au CFAI et au lycée Pasteur Mont-Roland à Dole puis au Conseil général de Saône-et-Loire. J’ai poursuivi vers un bac +4 avec le CFA Aspect, toujours en alternance, et là je travaillais au siège des autoroutes Paris Rhin Rhône. Tout cela m’a permis d’aborder des domaines tels que l’assistance utilisateur, l’administration serveur, la gestion de sites et des infrastructures informatiques complexes. Mais en dernière année, je me suis posé des questions. Je trouvais que je m’étais coupé du contact humain et je voulais décrocher de la technique. J’ai alors croisé un commercial. Ce qu’il faisait m’a plu et je me suis dit que c’était un moyen d’utiliser mes compétences pour trouver un poste différent, avoir une vision plus large, garder le contact avec les gens et avoir une reconnaissance auprès des clients. J’ai entamé un master commerce mais il ne m’a pas convenu. Je suis parti sur un CDD puis j’ai eu l’opportunité d’intégrer OCI, dont je fais partie depuis novembre 2013. C’est un groupe créé en 1979 à Strasbourg et qui s’adresse aux entreprises pour leur proposer des solutions informatiques (réseaux, sites, cloud). Il s’est développé dans tout le Grand Est, compte 182 personnes. Je suis arrivé lors de l’ouverture du bureau de Besançon.
Travail
Je suis un jeune commercial et ce que l’on me propose ici me correspond car j’ai une autonomie tout en étant bien encadré. J’ai eu très peu de période de recherche d’emploi ce qui est une chance car je suis dans un domaine assez bouché, même s’il y a plus de possibilités dans l’informatique, qui est un secteur spécifique.
Qualités
Il faut être à l’écoute. C’est la première qualité d’un bon commercial. Comme on dit, on a « deux oreilles et une bouche pour écouter deux fois plus qu’on ne parle ». Il faut aussi savoir prendre du recul et agir comme un chef d’orchestre dans le sens où il faut savoir faire appel à tel le ou telle personne à l’instant t. Bien entendu, il faut aimer son travail.
Inconvénients
On est dans un domaine très technique où il y a forcément des choses qui ne se passent pas comme on veut. Dans ces cas, il faut faire le lien entre la technique et le client pour satisfaire ce dernier. De temps en temps, on a des clients mécontents, mais il faut assumer. Il y a aussi un gros volume de travail, compensé par des salaires à la hauteur. C’est un métier qui inclut la notion d’objectifs, mais personnellement, c’est ce qui me plaît.
A la sortie du collège, je me suis dirigé vers l’informatique parce que j’aimais bien jouer ou réparer les ordinateurs. J’ai passé un bac pro informatique en alternance avec le CFB (Centre de formation de Bourgogne – Franche-Comté), avec comme structure d’accueil professionnel le lycée Pergaud. Ensuite j’ai enchaîné avec un BTS informatique de gestion, toujours en alternance, au CFAI et au lycée Pasteur Mont-Roland à Dole puis au Conseil général de Saône-et-Loire. J’ai poursuivi vers un bac +4 avec le CFA Aspect, toujours en alternance, et là je travaillais au siège des autoroutes Paris Rhin Rhône. Tout cela m’a permis d’aborder des domaines tels que l’assistance utilisateur, l’administration serveur, la gestion de sites et des infrastructures informatiques complexes. Mais en dernière année, je me suis posé des questions. Je trouvais que je m’étais coupé du contact humain et je voulais décrocher de la technique. J’ai alors croisé un commercial. Ce qu’il faisait m’a plu et je me suis dit que c’était un moyen d’utiliser mes compétences pour trouver un poste différent, avoir une vision plus large, garder le contact avec les gens et avoir une reconnaissance auprès des clients. J’ai entamé un master commerce mais il ne m’a pas convenu. Je suis parti sur un CDD puis j’ai eu l’opportunité d’intégrer OCI, dont je fais partie depuis novembre 2013. C’est un groupe créé en 1979 à Strasbourg et qui s’adresse aux entreprises pour leur proposer des solutions informatiques (réseaux, sites, cloud). Il s’est développé dans tout le Grand Est, compte 182 personnes. Je suis arrivé lors de l’ouverture du bureau de Besançon.
Travail
Je suis un jeune commercial et ce que l’on me propose ici me correspond car j’ai une autonomie tout en étant bien encadré. J’ai eu très peu de période de recherche d’emploi ce qui est une chance car je suis dans un domaine assez bouché, même s’il y a plus de possibilités dans l’informatique, qui est un secteur spécifique.
Qualités
Il faut être à l’écoute. C’est la première qualité d’un bon commercial. Comme on dit, on a « deux oreilles et une bouche pour écouter deux fois plus qu’on ne parle ». Il faut aussi savoir prendre du recul et agir comme un chef d’orchestre dans le sens où il faut savoir faire appel à tel le ou telle personne à l’instant t. Bien entendu, il faut aimer son travail.
Inconvénients
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express
Ambulancier
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Finales nationales 2022
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Les finales nationales se sont déroulées dans 64 métiers différents de 7 pôles (alimentation, automobile et engins, communication, végétal, BTP, industrie, service) et ont rassemblé près de 600 compétiteurs à Eurexpo Lyon. Cette ville devrait recevoir la compétition mondiale 2024.
46es wordskills
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