novembre 2011
Lycée Viette, spécialité image et son
L’un des plus anciens et plus réputés BTS audiovisuel de France est à Montbéliard. Les élèves bénéficient d’équipements dernier cri.
Photo Yves Petit
Le bâtiment dédié à l’audiovisuel au lycée Viette est flambant neuf. A tel point que les dernières touches des travaux sont encore en cours. Peu importe, les élèves de cette rentrée ont déjà investi les lieux. Ils disposent d’un équipement exceptionnel : 2000 m2, des boxes de montage, deux plateaux, des studios et tout le matériel nécessaire à l’apprentissage de leur métier dans des conditions optimales. « C’est un très bel équipement, c’est même le top en ce qui concerne les formations de ce genre en France » se réjouit Luc Paganelli, l’un des profs du lycée. Entièrement financé par la Région Franche-Comté, cet équipement ajoute une plus-value à une formation à la notoriété déjà établie.
Le BTS montbéliardais est l’un des 14 existants en France. Les plus proches sont à Metz et Lyon. Il dispose de 4 options : exploitation des équipements, montage, gestion de production, métiers du son. Les débouchés principaux sont dans l’audiovisuel mais la formation peut aussi servir à intégrer une école de cinéma. « On en a un ou deux par an qui réussissent le concours de la Fémis note Luc Paganelli. Samuel Collardey par exemple est passé chez nous. Mais le parcours le plus fréquent amène les élèves à travailler dans des sociétés de production. Ceux qui sont en son ou en gestion peuvent aussi se diriger vers le spectacle vivant. Dans l’ensemble le BTS suffit car les entreprises du secteur recrutent à ce niveau, quelle que soit l’option. Nos élèves trouvent du travail assez facilement. Peu en Franche-Comté cependant, car l’emploi se trouvent dans les grandes villes, Paris, Lyon, Marseille, Strasbourg ».
Le lycée reçoit 300 à 600 dossiers par option, pour n’en garder que 48 (12 par classe). Profil-type : scientifique avec un bon livret scolaire et une culture générale axée audiovisuel (ciné, musique). Quelques littéraires se font une place dans les options montage et gestion. Les cours proposent en effet un tiers de théorie technique (physique et technologie des équipements). Le reste : un tiers de pratique, un tiers de théorie plus large (anglais, culture générale dans le domaine littéraire et artistique) et 12 semaines de stage réparties sur les deux années.
,
Le BTS montbéliardais est l’un des 14 existants en France. Les plus proches sont à Metz et Lyon. Il dispose de 4 options : exploitation des équipements, montage, gestion de production, métiers du son. Les débouchés principaux sont dans l’audiovisuel mais la formation peut aussi servir à intégrer une école de cinéma. « On en a un ou deux par an qui réussissent le concours de la Fémis note Luc Paganelli. Samuel Collardey par exemple est passé chez nous. Mais le parcours le plus fréquent amène les élèves à travailler dans des sociétés de production. Ceux qui sont en son ou en gestion peuvent aussi se diriger vers le spectacle vivant. Dans l’ensemble le BTS suffit car les entreprises du secteur recrutent à ce niveau, quelle que soit l’option. Nos élèves trouvent du travail assez facilement. Peu en Franche-Comté cependant, car l’emploi se trouvent dans les grandes villes, Paris, Lyon, Marseille, Strasbourg ».
Le lycée reçoit 300 à 600 dossiers par option, pour n’en garder que 48 (12 par classe). Profil-type : scientifique avec un bon livret scolaire et une culture générale axée audiovisuel (ciné, musique). Quelques littéraires se font une place dans les options montage et gestion. Les cours proposent en effet un tiers de théorie technique (physique et technologie des équipements). Le reste : un tiers de pratique, un tiers de théorie plus large (anglais, culture générale dans le domaine littéraire et artistique) et 12 semaines de stage réparties sur les deux années.
,
RenseignementsLycée Viette, 1 rue Pierre Donzelot, BP327, 25206 Montbéliard cedex
www.lyceeviette.fr
03 81 99 84 84
articles
- • Marivaux au théâtre Piccolo
- • Les conservatoires, établissements publics d’enseignement
- • Mission de rayonnement artistique
- • Le Bafa donne des compétences et des jobs
- • Quatre esthétiques de danse
- • Rayonnement culturel
- • Worldskills : nos champions font carton plein
- • Animateur avec le Bafa
- • Sport, échanges, valeurs humaines
- • « Mon service civique m’a aidé sur tous les plans »
express
Espace de rue
novembre 2024
C'est le nom d'une formation professionnelle de danseur interprète hip-hop, créée il y a 3 ans par le conservatoire à rayonnement régional du Grand Chalon. Infos ici.
Métiers du son
octobre 2024
Parmi ses spécificités, le conservatoire du Grand Chalon dispose d'une section "prépa son" en lien avec les classes préparatoires aux grandes écoles physique technologie sciences de l'ingénieur (PTSI) au lycée Niépc. Cette option métiers du son, qui demande des compétences en maths, physique et musique, prépare aux concours des écoles en métiers du son. Le conservatoire compte 2 classes de 8, aux emplois du temps chargés mais efficaces : 100 % de réussite depuis 10 ans.
Obligation de formation
janvier 2024
Vous avez entre 16 et 18 ans et êtes sans école, formation ou emploi ? Des professionnels vous écoutent et vous accompagnent au 0800 122 500. Numéro vert gratuit du lundi au vendredi.
Stages
septembre 2023
Un nouvel outil proposé par la Région Bourgogne-Franche-Comté permet d’accéder à des offres selon son profil (collégiens, lycéens, étudiants et demandeurs d’emploi, salariés en reconversion…) dans des secteurs d’activités variés, dans toute la région Bourgogne-Franche-Comté. Stages de 3e, mini-stages, périodes de mise en situation en milieu professionnel ou de formations en milieu professionnel, etc. sont accessibles en s'inscrivant ici.
Ecoles de production
août 2023
À la rentrée 2023, quatre nouvelles Écoles de production ouvrent en Côte-d’Or (Dijon), dans la Nièvre (Moulins-Engilbert), en Saône-et-Loire (Le Creusot) et dans le Territoire de Belfort (Cravanche). Elles proposent des formations dans des secteurs qui recrutent en région Bourgogne-Franche-Comté : la scierie et l’industrie métallurgique. Pour les jeunes qui n’ont pas forcément un profil scolaire classique, qui préfèrent suivre une formation concrète et manuelle et souhaitent travailler immédiatement, ces écoles sont basées sur une pédagogie différente : « faire pour apprendre ». En savoir + Voir tout
Commentaires
Afin de poster un commentaire, identifiez-vous.