Enil internationale
février 2001
A l'école nationale d'industrie laitière de Mamirolle, l'international n'est pas un vain mot. Entre les formations d'étudiants, de salariés et d'industriels étrangers, les voyages d'études et les stages en entreprise pour les étudiants de l' école, l'ingénierie et la conduite de projets et l'assistance technique et le transfert de technologie, l'Enil exporte et fait connaître le savoir-faire franc-comtois aux quatre coins du monde (pays d'Afrique noire, du Maghreb, mais aussi Israël, Pologne, Roumanie, Argentine, Mexique voire Viet-Nam, Chine et Madagascar sont en lien avec Mamirolle). Les étudiants profitent de liens étroits tissés avec des écoles, entreprises ou institutions de plus de 20 pays, par l'intermédiaire notable de gens qui ont reçu une formation Enil et ont gardé le contact. «On ne les envoie pas n'importe où concède Jamal Kebchaoui, le responsable des relations internationales, mais chez des gens que l'on connaît bien. Il faut que ces séjours soient profitables technologiquement mais aussi agréables culturellement».
A l'IUT de Besançon, on échange avec le Kansas
février 2001
L'étudiant qui participe à un échange ou à un voyage-étude lors de son cheminement académique ne peut que renforcer voire compléter ses connaissances. Tout laisse croire que l'IUT semble en accord avec ce principe. « J'avait fait un voyage-étude avec les États-Unis lorsque j'étais étudiante et ce séjour s'est avéré enrichissant et très déterminant » assure Pascale Bouvet, respon-sable et coordinatrice des échanges de l'Institut. Les échanges de l'IUT avec le Kansas ont débuté en 1983, d' abord de façon ami-cale entre les deux corps professoraux. Les liaisons ont progressé et débouché peu après sur des échanges d'étudiants sur une base de réciprocité. «Ces échanges ont évidemment un but académique et linguistique. C'est l'un des programmes le moins cher mais qui représente toutefois un investissement» ajoute la responsable. Effectivement, les personnes intéressées doivent prévoir un budget de 40 000 F pour les 9 mois qu'ils passeront aux États-Unis. Cette contrainte financière freine évidemment les élans de nombreux jeunes. Cependant, pour contrebalancer, mentionnons que les étudiants boursiers peuvent se prévaloir de leurs bourses aux pays de l'Oncle Sam et qu'un diplôme reconnu sera remis à la fin du stage (le Ducis) pour donner une possible équivalence partielle des cours suivis au Kansas. De plus, l'accueil et les services offerts par l'établissement jumelé font en sorte que beaucoup d'anciens participants veulent y retourner et y rester plus longtemps. Renseignements : Institut universitaire technologique, 30 avenue de l'Observatoire, BP1559, 25009 Besançon, cedex (03.81.66.68.89)
Osef France Canada
février 2001
Cet organisme de séjours éducatifs habilité par Jeunesse et sports propose aux collégiens et lycéens de 13 à 17 ans, de la 5e à la terminale de vivre septembre et octobre dans un établissement cana-dien, dans une famille d'accueil avec un suivi permanent. Ce programme est destiné à se perfectionner en anglais puisqu'il concerne des séjours dans l'Ontario, l'Alberta ou la Colombie britannique, provinces anglophones. A l'issue du séjour, les élèves reçoivent un bulletin scolaire envoyé dans les rectorats. Association OSEF France-Canada, Christine Lenfant, le Village, 27520 Thuit-Hebert (02.32.42.26.94).
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