Ils sont nombreux mais pas tous bien connus :
Le vélo contribue à réduite les nuisances - bruit et pollution (les petits trajets en voiture sont Ies plus polluants parce qu'effectués à moteur froid).
Le cycliste respire moins de polluants que l'automobiliste, il échappe aux embouteillages et se situe au-dessus des polluants qui stagnent pour la plupart au ras du sol.
Le vélo est créateur d'emplois : en réduisant leurs frais de déplacement, tes cyclistes améliorent leur pouvoir d'achat ; quand on n'a plus de moyens. on peut se permette d'acheter des services et pas seulement des biens
L'usage du vélo contribue à réduire les inégalités sociales, en permettant à tous d'étre plus mobile à peu de frais. Avec le vélo moins de différence dans le signe extérieur de richesse, moins de m'as-tu-vu.
Le vélo consomme pu d'espace l'espace à l'arrêt (stationnement) et l'espace en mouvement (sur ta chaussée) Au total et en moyerme, il ne consomme pas plus d'espace qu'un passager dans un bus circulant dans un couloir bus En libérant l'espace urbain,, le vélo améliore l'accessibilité des centres villes et favorise leur revitalisation.
Le vélo favorise les petits commerces plutôt que les grandes surfaces. En un temps donné. un consommateur à vélo peut fréquenter successivement bien plus de commerces qu'avec tout autre mode
Le vélo améliore la santé pu binait. Il augmente l'espérance de vie, et cela malgré un risque d'accident un peu plus élevé. Il développe la motricité et le sens de l'équilibre.
Le vélo est un mode beaucoup moins risqué que l'on croie (le risque réel est bien moindre que le risque perçu). En ville, pour un risque 1 en voiture, le risque à vélo est de 1.5 à 2, le risque à vélomoteur de 10 à 15 et le risque à moto supérieur à 50.
Le vélo génère peu de danger pour les autres grâce à sa faible inertie (au contraire de la soudure dons l'inertie est 40 fois supérieure à vitesse double).
Le trafic cycliste contribue à modérer la circulation, ce qui qui rejaillit sur la sécurité de l'ensemble des usagors de la rue.
Le vélo est un mode dr déplacement à la fois individualiste et convivial. Il correspond aux tendances individualistes de notre époque, tout en permettant aux usagers de se parler.
Le vélo n'est pas plut fatiguant que la marche. Pour la même dépense d'énergie, on franchit environ 3 fois plus de km.
Le coût d'une politique cyclable est faible Dans un contexte dr rareté des fonds publics, c'est un avantage non négligeable.
Le vélo eu un mode complémentaire des transports collectifs. S'il existe une certaine concurrence sur courtes distances, la compiémentarité est évidente sur longues distances. Surtout, ces deux modes ont besoin d'une limitation de la circulation automobile peur se développer.
La solution vélo + transports en commun est plus attractive et moins chère qu'une solution tout transports en commun. Le veto est le complement indispensable d'une politique favorisant les transports publics.
Commentaires
Afin de poster un commentaire, identifiez-vous.