Creative commons : principe de création qui permet à tout auteur, quel que soit le domaine, de générer un contrat qui définit ce que |'on peut ou ne pas faire avec son oeuvre. La plupart sont libres d'uti|isation à des fins non commerciales, d‘autres peuvent étre modiflées ou réutilisées pour d'autres oeuvres.
Domaine public : au bout d'un certain nombre d'années aprés le décès de |'auteur, les oeuvres tombent dans le domaine public et la question des droits ne se pose plus. Une directive européenne s'appliquant a tous les pays de l‘Union précise que les oeuvres tombent dans le domaine public 70 ans aprés le décés de leur auteur ou s'il s'agit d'une collaboration, 70 ans a compter du décés du dernier auteur. Mais attention, il s'agit de création. L'interprétation d'une oeuvre, sa première fixation, sa première publication sont elles aussi protégées par des droits voisins pendant 50 ans. Au-delà des ces délais, les oeuvres sont dans le domaine public, donc gratuites.
Download : téléchargement descendant. Le fait d'enregistrer sur son ordinateur des documents (musique, film, photos, textes, etc) provenant d'autres ordinateurs ou de sites Internet.
DRM : pour Digital rights management. Mesures techniques de protection permettant de limiter la copie des oeuvres. Par exemple, un fichier acheté sur Virginmega ne peut étre copié que 5 fois. Mais la firme Emi vient de mettre en ligne une bonne partie de son catalogue sans DRM.
Interopérabilité : possibilité de pouvoir lire, voir ou écouter des produits achetés sur divers supports (par exemple un fichier musical téléchargé sur un baladeur numérique ou un Iecteur CD).
Licence globale : évoquée par certains pour prélever une taxe générale sur |‘uti|isation d‘Internet et rémunérer les artistes. Cette idée est mise entre parenthése, notamment parce qu‘auteurs et maisons de distribution veulent garder la maîtrise des répertoires et des tarifs et pour la difficulté à redistribuer l'argent aux auteurs.
Mp3, mp4, wma : formats de fichiers musicaux les plus courants circulant sur Internet.
Peer-to-peer ou PZP ou pair à pair : échange de documents entre ordinateurs en réseau. En soi, le P2P n'a rien d'iIlégal. Ce qui I'est, c'est de mettre à disposition des documents dont on ne possède pas les droits.
Upload : téléchargement montant en frangais littéral. C'est le fait de mettre des documents sur un ordinateur afin de permettre aux autres utilisateurs en réseau de les télécharger. Totalement proscrit en France sauf si l‘on posséde les droits des oeuvres en question. Cest surtout cette mise à disposition qui est poursuivie par les autorités.
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