Début mars, l’association qui regroupe les tiers-lieux dans la région comptait 108 structures. Comme tous ne sont pas recensés, le chiffre est plus important. Certains ne savent d’ailleurs pas qu’ils peuvent être considérés comme tels. La définition reste volontairement floue car derrière l’idée générale figurent les notions de liberté, d’évolution, d’adaptation. Chaque tiers-lieux peut élaborer son propre modèle, fonctionne à sa manière, il est donc contre-productif de fixer des normes et des critères précis. Néanmoins quelques orientations générales existent. Si le concept a été élaboré dès 1989 par Ray Oldenburg, le mot a surtout acquis une nouvelle notoriété ces dernières années. Dans la région, l'association pour les mettre en réseau a été créée en mai 2021. Elle répond à une augmentation des créations. Mais de quoi s’agit-il ? Ce dossier tente d’y répondre, à travers les exemples d'un tiers-lieu urbain, d'un tiers-lieu rural, d'un tiers-lieu numérique, d'un tiers-lieu culturel qui oeuvrent dans la région.
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