Confins. Pour sortir il faut s’auto autoriser à l’aide d’un formulaire qui précise les cas possibles (courses, visites familiales impérieuses, soins…). Le télétravail et le chômage partiel sont instaurés sauf pour quelques professions indispensables. Rapidement, aider les personnes isolées s’avère un geste civique nécessaire émergeant spontanément avant d’être relayé par la plateforme jeveuxaider. Un élan de solidarité complété par des messages de soutien et des aides aux soignants en première ligne face à la maladie.
Non sens. Juste après l'annonce du confinement, 2 millions de Parisiens s'exilent dans leurs maisons de campagne, occasionnant ça et là des polémiques avec les riverains mécontents du risque de propagation, notamment en Bretagne ou dans les îles de la côte Atlantique.
Freak. Chaque pays réagit à sa façon mais le schéma d’un déni ou d’un confinement retardé le plus tard possible se reproduit au fur et à mesure de l’extension de la pandémie. Le même phénomène s’observe dans l’événementiel, les grands rendez-vous – du festival de Cannes aux Jeux olympiques – s’annulant les uns après les autres. Devant la perspective d’une récession économique, de l’argent sort des poches : 300 millions d’euros côté français, 2000 milliards chez Donald Trump.
Chic. Fin mars, la moitié de la planète était confinée, le nombre de cas confirmés atteignait le million et les victimes 50000. Dans le marasme, une seule bonne nouvelle : le ralentissement de l’activité économique et des déplacements provoque une chute rapide de pollution dans les zones de confinement.
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