juillet 2014

De la pratique de la photo

Avec les nouvelles technologies, la photo est devenue un réflexe en toutes circonstances. Avanquest et Opinionway ont mené un sondage auprès des Français sur ses nouveaux usages.
Dessin Christian Maucler

  • commentercommenter
  • envoyerenvoyer
  • imprimerimprimer
  • caractèrePLUSMOINS
1,4 milliard de photos sont prises chaque jour dans le monde. Des milliers de selfies et de MMS circulent sur les réseaux sociaux et les smartphones. Avanquest, spécialiste de l'édition d'application logicielle, a demandé une enquête Opinionway (réalisée en mai 2014 auprès de 1112 personnes) pour mieux cerner les usages actuels. Principaux résultats :
- les Français prennent en moyennent 36 photos par mois. 73 % d'entre eux utilisent un appareil photo numérique et 77 % un téléphone portable, devenu mode de prise de vue numéro 1.
- signe d'une évolution (si l'on songe aux débuts de la photographie...), 72 % considèrent qu'une belle photo est une photo spontanée, réflexe, qu'on envoie en direct et 12 % seulement que c'est une photo où l'on est à son avantage. 71 % trouvent qu'une belle photo peut retranscrire une ambiance, des souvenirs.
- l'efficacité technologique influe sur les usages : 40 % des Français envoient leurs photos par email et 22 % par MMS.
- Avanquest a établi 5 catégories d'usages principaux : "la photo état d'âme" (54 % prennent les moments en famille, 10 % conservent des clichés ratés mais émouvants) ; "la photo fun" (43 % retouchent les prises de vue, font des montages), "la photo transgressive" (le portable permet plus facilement les usages interdits, comme dans les musées, ou pouvant atteindre la vie privée : 44 % avouent le faire), "la photo selfie" (à la mode mais seulement utilisée par 22 %) et, plus traditionnellement, "la photo mémo" (pour 57 %, elle est encore et toujours d'abord un moyen de garder des souvenirs).
Retour

Commentaires

Afin de poster un commentaire, identifiez-vous.

Se connecter S'inscrire

articles

express

WeCare


avril 2025
Cette application mobile qui aide les jeunes 18-25 ans à prendre soin de leur santé mentale a été créée par l'association Promotion Santé Bourgogne Franche-Comté. Basée sur des thérapies cognitivo-comportementales et la psychologie positive, elle a été conçue dans une démarche participative rassemblant des jeunes, des experts et le studio de jeux mobiles Pinpin Team. L'appli est disponible gratuitement pour mobiles et web. Infos ici.

Service civique écologique


avril 2025
Le Service civique écologique a pour objectif de permettre à la jeunesse de s’engager concrètement dans la lutte pour le climat. À travers ce dispositif, 50 000 jeunes pourront agir en faveur de la transition écologique d’ici 2027. Sur le principe du service civique, chaque jeune âgé de 16 à 25 ans, jusqu’à 30 ans en situation de handicap, pourra effectuer une mission indemnisée, d’une durée de 6 mois à 1 an, auprès d’une association, d’une collectivité, d’un opérateur public ou d’une entreprise publique de la transition écologique. Le Service Civique écologique sera lancé dès le mois de juin, par la mobilisation de 1000 jeunes ambassadeurs, avec une augmentation progressive prévue tout au long de l'année. Infos et offres ici.

Impact carbone


avril 2025
Un nouveau simulateur mis en ligne par l'Ademe permet de calculer l'empreinte carbone d'une livraison de colis. Sans surprise, c'est l'achat en magasin de proximité qui génère le moins d'impact. C'est le 14e calculateur de ce type proposé par l'agence de la transition écologique. Ils sont en ligne ici.

Espèces menacées


mars 2025
Pour mieux sensibiliser à la biodiversité et aux espèces menacées, France Info a créé un site avec moteur de recherche par région. En Bourgogne-Franche-Comté, 957 espèces sont menacées ; certaines en danger critique comme la déesse précieuse (une libellule), l'hydne corail (un champignon) ou le râle des genêts (un oiseau).

Droits des femmes en régression


mars 2025
En 2024, l'Onu signale une régression des droits des femmes dans un quart des pays ! Hausse des discriminations liées au sexe, diminution des ressources financières., mysoginie en phase de généralisation selon António Guterres. Un constat déplorable renforcée, selon l'Onu, par " le numérique et l’intelligence artificielle qui propagent des stéréotypes néfastes, tandis que la fracture numérique entre les sexes restreint les perspectives offertes aux femmes ". Lire ici.
Voir tout