1 - Négociant. Kim Jong-un, président de la Corée du nord a-t-il fait assassiné son demi-frère empoisonné par 2 femmes à l’aéroport de Kuala Lumpur ? Un coup de spray pour éliminer un héritier déchu en cavale qui vivait en exil à Macao protégé par la Chine. Point final d’une vie rocambolesque d’un fils illégitime de Kim Jong il et d’une actrice, sans ambition politique, ayant déjà subi une tentative d’assassinat.
2 - Négociants. Avant que le parlement européen se prononce le Ceta, accord de libre-échange entre l'UE et le Canada, des militants contre ont placé un énorme cheval de Troie (gonflable) devant le parlement.. Mais quelle que soit l'issue du vote (que seul Macron soutient ouvertement parmi les candidats) l'opposition au traité ne sera pas sans conséquences sur la politique commerciale future de Bruxelles. Le parlement de l'UE s'est prononcé en sa faveur le 15 février.
3 - Négociante. La milliardaire américaine Linda McMahon a fait fortune avec son mari en créant une ligue de catch aux Etats-Unis. Depuisce mois de février, elle est la ministre des petites entreprises de Donald Trump.
4 - Négociants. Les partenaires sociaux devraient rouvrirl a négociation d'une nouvelle convention d'assurance chômage mais certains syndicats entrent dans les discussions avec scepticisme face à un Medef toujours opposé à toute taxation des contrats courts. Après deux mois de "diagnostic partagé", les négociateurs syndicaux et patronaux se retrouvent pour relancer cette question qui avait échoué en juin. Depuis, le gouvernement, qui avait dû prolonger la convention de 2014, n'a cessé de pousser les partenaires sociaux à se remettre autour de la table, alors que le régime affiche une dette de 30 milliards d'euros. Selon le chef de file patronal, Alexandre Saubot, l'environnement est "complètement différent qu'au printemps dernier" (sic). "Le gouvernement laisse enfin les partenaires sociaux travailler et un certain nombre de syndicats ont dit qu'ils ne faisaient plus de la taxation un préalable à la négociation, ça change pas mal de choses". La question des contrats courts devrait tout de même être au cœur des tractations. Pour les syndicats, c'est le nœud du problème et la principal source de déficit du régime. Or à première vue, le discours patronal n'a pas changé sur le sujet. "Il ne faut surtout pas taxer les contrats courts", a répété Pierre Gattaz.
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