Le numérique a du bon, comme est venu encore le confirmer la réalité du confinement. Il a du moins bon aussi : harcèlement, désinformation, usurpation d’identité, arnaques, chantage… La plupart de ces phénomènes existaient avant le numérique. Mais ce dernier les amplifie, les renforce, les étend, les diffuse plus facilement et plus rapidement. Et surtout, il rend moins visibles voire inexistantes les barrières entre sphères publiques et privées. Les problèmes sont connus, ils font régulièrement la une de l’actualité. Les connaître est déjà une source de prévention. Au-delà, confronté à un problème, il est possible de s’adresser à des professionnels à l’écoute, à l’exemple de ceux d’e-Enfance ou des Promeneurs du net que nous avons interviewés pour ce numéro.
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