novembre 2024

Répétitions

Donald Trump, Valence, Education nationale, Mercosur.
Dessin Christian Maucler
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1 - Donald 2. Alors qu’on annonçait un scrutin serré, c’est Donald Trump qui est élu pour la 2e fois président des Etats-Unis d’Amérique et ce, de manière confortable. Le milliardaire a notamment remporté les 7 « swing states », les Etats qui comptent vraiment dans l’élection.

2 - Climat. Fin octobre et début novembre, la région autonome de Valence en Espagne est sinistrée par des inondations brusques, facilitées par les sols trop secs ou bétonnés.  Une catastrophe qui fait plus de 200 décès et de nombreuses destructions avec des dégâts estimés à 4 milliards d’euros. La population est en colère contre les autorités qui auraient tardé à déclencher l’alerte et manqué d’efficacité.

3 - Choc thérapie. Le 12 novembre, la ministre Anne Genetet présente « l’acte 2 du choc des savoirs » qui contient plusieurs mesures « pour élever le niveau de notre école » : évaluations obligatoires en 6e et 4e, programmes renouvelés en primaire, soutien renforcé instauré en 4e et 3e sur le modèle des groupes de besoin déjà présents en 6e et 5e, réforme du brevet qui deviendra un passage obligatoire pour l’entrée en seconde à partir de 2027, doublement des élèves ayant accès aux groupes devoirs faits (temps d’étude pour accompagner les élèves) et aux stages de réussite, épreuve anticipée du bac en maths en 1re à partir de 2027, recrutement de 150 CPE et 600 assistants d’éducation. « Il faut remettre l’ascenseur scolaire en marche » déclare Anne Genetet.

4 - Agricolère. Les agriculteurs s’insurgent contre le traité de libre-échange annoncé entre l’Union européenne et le Mercosur (Amérique du sud). Les syndicats agricoles le dénoncent et lancent plusieurs opérations telles que : démontage de panneaux de signalisation des communes, convoi de tracteurs vers le parlement européen, opérations escargot, manifestations et déversement de fumier devant les préfectures. Pour résumer, c’est l'UE (et non l’État) qui négocie cet accord commercial pour réduire les taxes et favoriser les échanges. L’effet négatif craint par les agriculteurs est une augmentation de concurrents qui produisent pour moins cher, même si la Commission européenne assure que les risques sont pris en compte.
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