1 - Mythe. Le Yéti ne serait qu'un ours des hautes montagnes de l'Asie selon des analyses ADN réalisées à partir d'un fragment d'os, d'une dent, d'un morceau de peau, de poils ou de matières fécales collectés dans les montagnes de l'Himalaya entre la fin des années 1930 et aujourd'hui. Charlotte Lindqvist, coauteure d'une étude sur le sujet, se base sur ces échantillons pour affirmer que le yéti ne serait rien d'autre qu'un ours. Un échantillon s'est avéré provenir d'un chien, et les huit autres échantillons correspondaient à des ours noirs d'Asie, des ours bruns d'Himalaya et à des ours bruns tibétains. Pour Charlotte Lindqvist, le mythe du Yéti «puise ses racines dans des faits biologiques réels» rattachés aux ours locaux. Elle estime aussi qu'il ne s'agit pas de la fin du mythe : «ce mythe est important pour la région de l'Himalaya et le folklore local» et il va le rester. «Les gens adorent les mystères».
2 - Tennis. Et encore une coupe Davis pour Yannick Noah, à la tête de l'équipe de France.
3 - Logement. Paris renforce son arsenal contre les locations Airbnb illégales. Les annonces de location de logements sur Airbnb et ses concurrents à Paris devront afficher un numéro d'enregistrement, obtenu en mairie, nouvelle étape dans la traque des meublés touristiques illégaux La capitale, qui cherche à contenir la disparition de logements convertis en appartements pour touristes, est la première ville française à adopter cette mesure. Paris est pour Airbnb l'un des premiers marchés du monde avec 65 000 logements revendiqués."Sur cinq ans, la ville de Paris a perdu 20 000 logements, qui ont été transformés en meublés touristiques, loués en permanence, au détriment du logement et des classes moyennes parisiennes. L'objectif est de mettre un terme à cette hémorragie", dit M. Brossat élu PCF de la ville.
4 - Prison. Piscine intérieure, terrasses ensoleillées et personnel de service : ce centre situé à Ryad a tout d'une résidence de vacances mais il s'agit d'une structure de déradicalisation pour jihadistes.Ce confortable complexe est le symbole d'une stratégie saoudienne controversée de rééducation de jihadistes, qui mise sur la guérison idéologique plutôt que sur la coercition.Le Centre de conseil et d'orientation Mohammed ben Nayef, dirigé par des religieux et des psychologues, a pour mission d'empêcher des condamnés ayant purgé leur peine de retomber dans le jihad. "Nous nous concentrons sur la correction de leurs idées fausses", souligne Yahya Abou Maghayed, un directeur du centre, qui a fait visiter à l'AFP le vaste complexe bordé de palmiers, dans une voiturette de golf.
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