février 2016
Apprendre le commerce par l’apprentissage
Sarah, Bisontine de 21 ans, a choisi l’apprentissage pour se former dans la vente.
Parcours
Mon orientation, c’est une voie que j’ai choisie, à la fois dans la vente et par apprentissage, même si ce dernier a été énormément dénigré avec la notion que c’était pour ceux qui ne peuvent pas poursuivre une scolarité générale. J’ai d’abord fait un bac pro commerce au CFA Hilaire de Chardonnet avant de travailler un an dans un magasin de jouet. Puis j’ai voulu reprendre mes études et je suis en 2e année de gestion d’unité commerciale spécialisée à l’Iméa, toujours par apprentissage. Je suis en alternance à la boutique Tape à l’œil à Pontarlier. Pour la suite j’hésite entre travailler ou continuer des études. Une licence RH me tenterait bien.
La vente
Ca s’est toujours bien passé, y compris pendant mon bac pro, quand j’étais dans l’automobile. Ce que j’aime dans ce métier, c’est le contact humain, l’échange.
Iméa
Cette année, nous sommes deux classes de 15. Cela permet de bien fonctionner. C’est une bonne école qui nous donne les outils utiles pour travailler, avec des intervenants professionnels. Celui qui envisage de devenir responsable a toutes les cartes pour y arriver.
L’apprentissage
Dans le commerce, c’est essentiel parce que c’est sur le terrain qu’on apprend. Le relationnel avec les clients n’existe que sur le terrain. Le fait d’être en alternance est très utile : quand on rencontre un problème en entreprise, on peut en discuter avec nos profs. Le théorique et le pratique sont complémentaires. Et on a un salaire : moi, je suis rémunérée depuis l’âge de 16 ans. La seule difficulté que je vois est liée aux horaires : pour passer le bac par exemple, on a moins e temps pour apprendre. Quand on n’est pas en cours, on travaille. Cette année, j’ai 14 h de cours par semaine les lundis et mardis à l’Iméa et 21 h le reste de la semaine en entreprise.
Mon orientation, c’est une voie que j’ai choisie, à la fois dans la vente et par apprentissage, même si ce dernier a été énormément dénigré avec la notion que c’était pour ceux qui ne peuvent pas poursuivre une scolarité générale. J’ai d’abord fait un bac pro commerce au CFA Hilaire de Chardonnet avant de travailler un an dans un magasin de jouet. Puis j’ai voulu reprendre mes études et je suis en 2e année de gestion d’unité commerciale spécialisée à l’Iméa, toujours par apprentissage. Je suis en alternance à la boutique Tape à l’œil à Pontarlier. Pour la suite j’hésite entre travailler ou continuer des études. Une licence RH me tenterait bien.
La vente
Ca s’est toujours bien passé, y compris pendant mon bac pro, quand j’étais dans l’automobile. Ce que j’aime dans ce métier, c’est le contact humain, l’échange.
Iméa
Cette année, nous sommes deux classes de 15. Cela permet de bien fonctionner. C’est une bonne école qui nous donne les outils utiles pour travailler, avec des intervenants professionnels. Celui qui envisage de devenir responsable a toutes les cartes pour y arriver.
L’apprentissage
Dans le commerce, c’est essentiel parce que c’est sur le terrain qu’on apprend. Le relationnel avec les clients n’existe que sur le terrain. Le fait d’être en alternance est très utile : quand on rencontre un problème en entreprise, on peut en discuter avec nos profs. Le théorique et le pratique sont complémentaires. Et on a un salaire : moi, je suis rémunérée depuis l’âge de 16 ans. La seule difficulté que je vois est liée aux horaires : pour passer le bac par exemple, on a moins e temps pour apprendre. Quand on n’est pas en cours, on travaille. Cette année, j’ai 14 h de cours par semaine les lundis et mardis à l’Iméa et 21 h le reste de la semaine en entreprise.
IméaEcole de commerce des CCI du Doubs et de Haute-Saône.
46 avenue Villarceau à Besançon (0381252643)
4 rue Jean Bauhin à Montbéliard (0381312512)
1 rue Victor Dollé à Vesoul (0384967121)
imea.info
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express
Espace de rue
novembre 2024
C'est le nom d'une formation professionnelle de danseur interprète hip-hop, créée il y a 3 ans par le conservatoire à rayonnement régional du Grand Chalon. Infos ici.
Métiers du son
octobre 2024
Parmi ses spécificités, le conservatoire du Grand Chalon dispose d'une section "prépa son" en lien avec les classes préparatoires aux grandes écoles physique technologie sciences de l'ingénieur (PTSI) au lycée Niépc. Cette option métiers du son, qui demande des compétences en maths, physique et musique, prépare aux concours des écoles en métiers du son. Le conservatoire compte 2 classes de 8, aux emplois du temps chargés mais efficaces : 100 % de réussite depuis 10 ans.
Obligation de formation
janvier 2024
Vous avez entre 16 et 18 ans et êtes sans école, formation ou emploi ? Des professionnels vous écoutent et vous accompagnent au 0800 122 500. Numéro vert gratuit du lundi au vendredi.
Stages
septembre 2023
Un nouvel outil proposé par la Région Bourgogne-Franche-Comté permet d’accéder à des offres selon son profil (collégiens, lycéens, étudiants et demandeurs d’emploi, salariés en reconversion…) dans des secteurs d’activités variés, dans toute la région Bourgogne-Franche-Comté. Stages de 3e, mini-stages, périodes de mise en situation en milieu professionnel ou de formations en milieu professionnel, etc. sont accessibles en s'inscrivant ici.
Ecoles de production
août 2023
À la rentrée 2023, quatre nouvelles Écoles de production ouvrent en Côte-d’Or (Dijon), dans la Nièvre (Moulins-Engilbert), en Saône-et-Loire (Le Creusot) et dans le Territoire de Belfort (Cravanche). Elles proposent des formations dans des secteurs qui recrutent en région Bourgogne-Franche-Comté : la scierie et l’industrie métallurgique. Pour les jeunes qui n’ont pas forcément un profil scolaire classique, qui préfèrent suivre une formation concrète et manuelle et souhaitent travailler immédiatement, ces écoles sont basées sur une pédagogie différente : « faire pour apprendre ». En savoir + Voir tout
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