Elle a suivi la formation assistant de vie avec l’Afpa et travaille depuis 3 ans à l’Assad Besançon-Pontarlier en CDI, organisme pour lequel elle intervient chez les particuliers. «Ce sont des personnes âgées mais aussi des personnes handicapées ou des familles. Le métier demande de s’adapter à elles et à leur degré de dépendance. Certaines ont seulement besoin de ménage et d’accompagnement en promenade. Pour d’autres, il peut y avoir de l’aide aux repas, à la toilette, au lever et au coucher. Nous avons aussi un rôle de soutien moral, car ce sont souvent des personnes qui voient peu de monde. Parfois, nous sommes leur seul contact de la journée. Il faut leur parler, éventuellement jouer aux cartes ou à d’autres jeux de société, ce qui permet de les stimuler. C’est un beau métier mais je pense qu’il faut avoir la vocation, aimer les gens, avoir envie de les écouter, savoir laisser de côté ses soucis personnels quand on entre chez eux».
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