mars 2014
L’industrie fait son bus
Depuis le mois de janvier,il circule dans les campagnes franc-comtoises. D’ici le mois de novembre, il s’arrêtera à 46 étapes, dans des lieux d’enseignement, des mairies ou lors de forums.
Photo DR
Réalisé par l’UIMM et le CFAI, le programme de ce bus de l'industrie répond à un appel à projets de la Région Franche-Comté. Il croise deux problématiques : mieux faire connaître l’industrie, ses métiers, ses débouchés auprès des jeunes et «se rendre dans des territoires peu couverts par les circuits d’information, là où des entreprises ont des besoins de recrutement et des difficultés à les combler» comme l’explique Philippe Labouche, directeur du CFAI de Besançon.
Le bus est une des réponses à une réalité pouvant paraître étonnante en temps de crise, mais que les chefs d’entreprise expriment clairement. Philippe Labouche est bien placé pour le savoir : lors de la dernière rentrée, le CFAI disposait de plusieurs centaines de postes non pourvus. Pour les entreprises «excentrées», la difficulté est accentuée.
«Ce bus a été aménagé pour accueillir des groupes par 15. Géré par 2 animateurs, il propose une animation souple, adaptable en fonction du public, avec la possibilité de recevoir des intervenants, un kit métiers de l’UIMM avec vidéo, es réponses pratiques et concrètes sur la réalité professionnel. Surtout, la présentation s’adapte à l’étape du bus avec une présentation des entreprises et des métiers possibles à proximité. La volonté est de créer un contact direct avec les entreprises locales».
En avril, le bus sera le 3 au collège d’Amancey puis au collège de Saône, le 4 au collège de Villers-le-Lac puis au collège du Russey. Autres dates en cours de validation.
Le bus est une des réponses à une réalité pouvant paraître étonnante en temps de crise, mais que les chefs d’entreprise expriment clairement. Philippe Labouche est bien placé pour le savoir : lors de la dernière rentrée, le CFAI disposait de plusieurs centaines de postes non pourvus. Pour les entreprises «excentrées», la difficulté est accentuée.
«Ce bus a été aménagé pour accueillir des groupes par 15. Géré par 2 animateurs, il propose une animation souple, adaptable en fonction du public, avec la possibilité de recevoir des intervenants, un kit métiers de l’UIMM avec vidéo, es réponses pratiques et concrètes sur la réalité professionnel. Surtout, la présentation s’adapte à l’étape du bus avec une présentation des entreprises et des métiers possibles à proximité. La volonté est de créer un contact direct avec les entreprises locales».
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express
Aspirations métiers
février 2025
Une étude, menée auprès de 800 jeunes de 18 à 30 ans par la plateforme Olecio, met en lumière la faible connaissance des 500 métiers types référencés par France Travail. Par ailleurs, le top 5 des professions qui ont la faveur des jeunes sont celles de professeur, de médecin, d’infirmier, d’avocat et de comptable. Ces métiers préférés des jeunes se trouvent surtout être pourvoyeurs d’emplois et même confrontés à des tensions. Ce n'est pas un paradoxe selon Sébastien Levy-Prudent, cofondateur d'Olecio, interrogée par France Info : « il n'y a pas une désaffection a priori sur ces métiers », mais elle intervient plus tard « à cause de la réalité des conditions de travail, de la rémunération ».
1élève1stage
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Décrocheurs : première étape
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