Ils font partie de la promotion actuelle de techniciens supérieurs en production industrielle. Le premier s’est réorienté après des études en biologie, “car dans la région, il n’y a pas de débouchés”. La seconde est salariée chez Alsthom, en formation continue. Avec 35 h de cours par semaine, ils trouvent la formation intensive. « Pour le calcul ça va, j’en ai fait pas mal durant mes études dit Lémaïc. Au début, il m’a été plus difficile de m’adapter aux logiciels et aux termes mécaniques ». Béatrice, elle, a dû se remettre aux études après une vingtaine d’années, « ce n’est pas évident ». Ce qu’ils apprennent ? « On a un cahier des charges pour un produit, on fait une ébauche et on confie le dossier au technicien études mécaniques qui va le finaliser ».
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