Sarah, 23 ans, service de salle
“Je suis arrivée au Grapiot il y a un an. Avant, j’étais dans la coiffure, mais j’ai changé de voie, avec le projet d’ouvrir un restaurant. J’ai passéJ’ai passé un CAP au CFA de Gevingey. Je travaille en salle. Le matin, j’arrive vers 10 h, l’après-midi vers 15 h 30. Les horaires de départ varient en fonction de ce qu’il y a à faire. Cela peut être 14 h et 22 h, mais aussi 1 h du matin. S’il y a une difficulté dans ce métier, c’est peut-être les horaires. Mais dans l’ensemble, cela me plaît vraiment. J’aime le contact avec la clientèle et les petites montées d’adrénaline”.
Quentin, 18 ans, apprenti en bac pro cuisine au CFA de Gevingey
“Depuis tout petit, en voyant mes parents cuisiner, j’ai toujours eu envie de faire ça. Maintenant que je suis dans le métier, cela me plaît toujours autant. Comme j’ai la chance de faire un métier que j’aime, je ne vois pas d’inconvénient ! On a une vie un peu décalée mais on fait avec. Et puis c’est un métier qui peut donner l’occasion de découvrir, de voyager : la cuisine peut s’exercer partout dans le monde”.
Coraline, 17 ans, apprentie, en CAP au CFA de Gevingey
“Pour moi, c’est une vocation, depuis toute petite j’ai envie de faire ça, avec l’idée d’avoir un restaurant un jour. Pour l’instant, cela correspond à ce que j’imaginais. Les journées sont un peu dures, mais si on est motivé, ça va. Les horaires décalés n’empêchent pas de sortir à d’autres moments. Et surtout, il y a toujours des débouchés pour celui qui veut bosser”.
Hortense, 16 ans, stagiaire
“Je suis en bac techno hôtellerie à Dijon. Cette formation ouvre à pas mal de choses, y compris le tourisme. Je fais un stage de 2 mois en restauration car on nous demande de connaître cet aspect. C’est intéressant de voir comment ça se passe, mais mon souhait est d’être réceptionniste en hôtel.”
Maxime, 20 ans, aide-cuisinier
Après un CAP, une mention complémentaire dessert de restaurant et une année de BP, il a été embauché en début d’année. “J’avais envie de faire ce métier et maintenant que je suis aide-cuisinier, ça confirme vraiment mon choix. J’aime bien l’ambiance ici, il y a un côté sympa. Quand j’ai cherché du travail j’ai vu qu’il y avait du choix. C’est un métier où l’on peut bouger facilement”.
Eflamm, 16 ans, stagiaire
“Je suis en bac techno hôtellerie et je suis en stage pour connaître l’aspect restauration. C’est un métier qui me plaît, qui fait rêver : par exemple, j’ai participé à un service pour la remise des prix des compagnons, c’était la grande classe. L’inconvénient est qu’on ne compte pas ses heures, il faut aimer travailler pour ce qu’on fait. L’avantage, c’est qu’il n’y a pas trop de mal à trouver du travail”.
Stéphane, 33 ans, service de salle
“Je travaille en salle, j’accueille les clients, je vérifie si tout se passe bien pendant le service, notamment au niveau de la cave. J’ai commencé à travailler à 19 ans, après avoir fait l’école hôtelière à Arbois. J’ai toujours trouvé du travail. Quand on est motivé et que l’on n’a pas peur de bouger, c’est facile. C’est un métier de contact, on voit beaucoup de gens. Quand un client est satisfait, quand on voit qu’il se fait plaisir, on en retire de la satisfaction”.
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