Lorsque nous avons choisis de faire un service civique, nous nous engageons dans une mission de volontariat. Quelques soient les raisons qui nous ont amenés à tenter l’expérience, nous gagnons tous en maturité et nous développons nos bagages personnels.
Pourquoi choisir de faire un service civique ?
Beaucoup de personnes se lancent dans l’aventure en tant que première expérience professionnelle. Service civique n’est pas un synonyme de stagiaire mais un synonyme de volontaire. Il offre de réelles responsabilités vis-à-vis de la structure qui nous accueille. De plus, nous bénéficions d’une indemnisation de 580 euros. Les missions proposées peuvent être différentes et tout le monde peut y trouver son compte, que l’on cherche quelque chose de spécifique ou que l’on souhaite découvrir de nouveaux domaines !
Comment postuler ?
Un site est produit à cet effet :
service.civique.gouv.fr. Une lettre de motivation ainsi qu’un CV sont nécessaires. Nous sommes tous passés par un entretien qui sert de premier contact avec la structure qui nous accueille mais également avec notre tuteur qui va nous suivre tout au long de notre service civique. Le tuteur est celui qui va nous accompagner dans la vie professionnelle et nous guider dans notre mission. Il s’adapte à nous et on peut citer l’exemple de Rémi qui a eu des difficultées quand il est arrivé à la direction vie des quartiers à la Ville de Besançon. Son tuteur lui a alors proposé qu’ils se voient tous les matins pour faire un débriefing.
Quelles sont les bénéfices ?
Le service civique permet de nous insérer de façon progressive dans la vie professionnelle. De plus, il apporte une expérience supplémentaire dans notre CV qui n’est pas négligeable aux yeux des recruteurs. Nous développons également un réseau dans le monde professionnel qui ne nous garantit pas un emploi à la fin de notre Service Civique mais qui nous donne des clés pour nous orienter dans notre recherche. Nous nous sommes confrontés à la réalité du monde du travail et à la position à adopter face à notre hiérarchie. Nous ne la vivons pas de la même façon qu’un salarié, nous avons moins de pression mais toujours la volonté de bien faire. Nos collègues nous font confiance et nous laissent beaucoup d’autonomie, mais ils sont toujours prêts à nous soutenir et à nous aider. Cela nous a tous permis de développer des compétences, un savoir-être et savoir-faire qui restera utile tout au long de notre vie, au-delà du monde professionnel.
Rémi Bureau, Laura Theodori, Angélique Paris, Nils Vigneron
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