Si la musique vient d’abord en tête quand on évoque les conservatoires, danse et théâtre figurent au même titre dans leurs prérogatives et selon les mêmes modes, en pratique amateur ou à visée professionnelle. Premier à avoir lancé la catégorie hip-hop, le conservatoire à rayonnement régional du Grand Chalon propose actuellement 4 esthétiques : classique, contemporaine, jazz, hip-hop.
« Le classique a du succès auprès des plus jeunes parce que c’est facile d’accès et parce que c’est encore la première image que l’on se fait de la danse décrit Lisa Bicheray, conseillère aux études chorégraphiques.
Le contemporain et le jazz, c’est plutôt des plus grands. Il y a régulièrement des élèves qui basculent d’une pratique à l’autre ». Le conservatoire développe également une
formation professionnelle nommée « Espace de rue » pour des danseurs hip-hop qui désirent développer et approfondir leurs connaissances.
Cette année, 340 élèves profitent de quatre studios et un auditorium spécialement équipés. S’ils s’engagent dans une voie professionnelle, ils peuvent aller jusqu’au diplôme d’études chorégraphiques qui permet d’entrer dans un centre de formation en vue du Diplôme d’État ou jusqu’à la classe préparatoire pour préparer les concours d’entrée dans les établissements d’enseignement supérieur.
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