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janvier 2016
«Un festival très professionnalisant»
Passionné de culture au sens large, Pierre Convers a eu l'opportunité d'être président du jury de Cinémas d'Asie à deux reprises.
Photo Jean-Claude Coupriaux
Pour cette édition 2016, Pierre fait partie des bénévoles en charge de l'organisation du festival international du Cinéma d'Asie. Cette année il assiste la cellule communication et s'occupe de l'espace professionnel. Âgé de 18 ans seulement, il connaît déjà bien les rouages de ce rendez-vous international du cinéma asiatique pour en avoir présidé à deux reprises le Jury lycéen.
L’œil critique
L'aventure a commencé alors qu'il était encore élève au lycée Édouard Belin à Vesoul. «J'ai toujours aimé le cinéma et quand je suis arrivé au lycée j'ai choisi l'option "découverte des arts visuels". C'est dans ce cadre et grâce à ma prof d'art que j'ai pu aller au festival de Cannes où j'ai rencontré Martine et Jean-Marc Thérouanne.» Les fondateurs du festival vésulien lui proposent de participer au Jury jeunes alors qu'il est encore élève de seconde. Avant de présider le Jury lycéen les deux années suivantes en 2014 et 2015. «Cela m'a beaucoup apporté notamment en terme d'organisation car, en tant que président, il fallait réunir tous les membres du jury, organiser et mener les débats sur la dizaine de films sélectionnée» explique Pierre.
Et les thèmes de débat peuvent être très variés, à l'image de la programmation du festival. Parmi les films qui ont marqué l'esprit de Pierre, "Love for share" de Nia Dinata par exemple, traitait de la polygamie. Être membre ou président du jury impose également de s’entraîner à avoir un regard critique sur un film dans son ensemble, pas seulement sur le thème. «J'ai beaucoup aimé "Nobody's home" de Deniz Akçay pour sa beauté visuelle et "Melbourne" de Nima Javidi pour la manière dont le spectateur est pris dans un scénario loufoque» explique Pierre.
«C'est très professionnalisant. J'ai aussi appris à gérer la communication» poursuit-il. Un domaine qu'il affectionne particulièrement et qui est en train de devenir son métier. Aujourd'hui étudiant en première année de journalisme, Pierre n'attend pas d'obtenir son diplôme pour mettre la main à la pâte. Animateur-chroniqueur sur Radio vintage à Vesoul et rédacteur pour le blog pedromadaire.com, il associe au quotidien ses centres d'intérêts, culture et journalisme.
Katia Mairey
L’œil critique
L'aventure a commencé alors qu'il était encore élève au lycée Édouard Belin à Vesoul. «J'ai toujours aimé le cinéma et quand je suis arrivé au lycée j'ai choisi l'option "découverte des arts visuels". C'est dans ce cadre et grâce à ma prof d'art que j'ai pu aller au festival de Cannes où j'ai rencontré Martine et Jean-Marc Thérouanne.» Les fondateurs du festival vésulien lui proposent de participer au Jury jeunes alors qu'il est encore élève de seconde. Avant de présider le Jury lycéen les deux années suivantes en 2014 et 2015. «Cela m'a beaucoup apporté notamment en terme d'organisation car, en tant que président, il fallait réunir tous les membres du jury, organiser et mener les débats sur la dizaine de films sélectionnée» explique Pierre.
Et les thèmes de débat peuvent être très variés, à l'image de la programmation du festival. Parmi les films qui ont marqué l'esprit de Pierre, "Love for share" de Nia Dinata par exemple, traitait de la polygamie. Être membre ou président du jury impose également de s’entraîner à avoir un regard critique sur un film dans son ensemble, pas seulement sur le thème. «J'ai beaucoup aimé "Nobody's home" de Deniz Akçay pour sa beauté visuelle et "Melbourne" de Nima Javidi pour la manière dont le spectateur est pris dans un scénario loufoque» explique Pierre.
«C'est très professionnalisant. J'ai aussi appris à gérer la communication» poursuit-il. Un domaine qu'il affectionne particulièrement et qui est en train de devenir son métier. Aujourd'hui étudiant en première année de journalisme, Pierre n'attend pas d'obtenir son diplôme pour mettre la main à la pâte. Animateur-chroniqueur sur Radio vintage à Vesoul et rédacteur pour le blog pedromadaire.com, il associe au quotidien ses centres d'intérêts, culture et journalisme.
Katia Mairey
En photoA Cannes avec Martine et Jean-Marc Thérouanne.
Festival international des cinémas d'Asie25 rue Dr Doillon
70000 Vesoul
03 84 76 55 82
festival.vesoul@wanadoo.fr
cinemas-asie.com
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express
Des mentions au concours de piano d'Epinal
mai 2022
Des élèves bisontins de Christine Lambert ont participé au programme piano du concours artistique d'Epinal, le 3 avril. Avec des belles prestations puisque Minh-Long Ngo a obtenu la mention bien à l'unanimité, Leila Boudot et Ernad Husejinovic ont obtenu la mention très bien et Anh-Khoa Ngo la mention très bien à l'unanimité.
Marion Roch rend hommage aux soignants
juillet 2020
La Bisontine Marion Roch vient de faire paraître "Les 1000 pieuvres" chanson dédiée aux soignants, auxquels tous les profits générés seront reversés. Une chanson écrite en deux étapes : en 2016, elle découvre le quotidien des soignants lorsqu'elle accompagne pendant 5 mois sa grand-mère à l'hôpital. Début 2020, lorsqu'on parle une fois de plus des conditions difficiles des soignants, elle reprend ses idées, recueille des témoignages et écrit cette chanson. Sans se douter qu'elle allait sortir en pleine crise sanitaire, troisième référence inopinée de son texte. Disponible en single, à écouter et partager sur youtube.
« Citadelle »
décembre 2019
On vous laisse apprécier ici le nouveau morceau electro de l'artiste bisontin Sorg, "Citadelle", hommage à sa ville, accompagné d'une réalisation 100% locale : morceau produit et mixé par Sorg, masterisé par Thomas Fournier, visuel réalisé par Ornella Salvi, prises drones par Jean-Philippe Putaud (Apollo77) et réalisation et montage de la vidéo par Christophe Roy (MS Studio / Mesh Photography).
Great hat persévère
novembre 2018
Après "Namantius", l’association de cinéma bisontine a poursuivi ses activités, en tournant notamment "Clair obscur", un court métrage sur Gustave Courbet lors de son retour à Ornans pour peindre son tableau "Enterrement à Ornans". Originalité du projet, il a été mené en partenariat avec l'école de musique Amuso qui joue la musique en direct lors des projections."Clair obscur" est passé par un financement participatif sur ulule.
#Quiproquo
octobre 2018
Un film d'action de 26 mn tourné à Besançon à partir d'une histoire vraie. Le 3e court métrage de Liil Serge Mbeutcha est dans son genre une réussite : scènes d'action très pros, images et montage soignés. Armé de l'enthousiasme et du dynamisme permettant de franchir les obstacles compliqués qui émaillent toute réalisation cinéma, le jeune homme est près pour se lancer dans le long. Trailer ici. Voir tout
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