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décembre 2012
Histoire (franche) contée : les «Comtois en folie»
Une dizaine de jeunes maîchois se retrouvent autour d’une passion commune pour les chevaux comtois et le spectacle équestre.
En 2001, le plateau maîchois, réputé pour la rigueur de ses hivers, n’a pas empêché quelques irréductibles jeunes passionnés de créer une troupe de spectacle équestre.
Ils sont une petite dizaine, élèves au collège, en BTS ACSE (analyse et conduite des systèmes d’exploitation) ou en bac pro mécanique, enfants du pays et paysans de père en fils et filles. Vivant depuis leur tendre enfance au milieu de vaches et des gros chevaux blonds, ils finissent par faire ce qu’ils veulent de ces «lourds» que sont les Traits comtois : sauter en l’air comme des ballerines, piaffer comme des pur-sang, se cabrer au moindre geste.
C’est alors que naît l’association. Les garçons réparent, bricolent, font les plans des futures écuries, président les réunions. Les filles sont plus à l’aise avec les papiers, la rédaction des comptes-rendus et des courriers, la création de costumes et décors… autour des chevaux nés et élevés dans la ferme. La troupe se mobilise, crée des numéros, se renouvelle et évolue au gré des vies de chacun. Des heures de travail bénévoles et la passion commune mène la troupe à se produire en public. «En version "non stop", c’est comme une vraie vie de famille qui s’est construite dans notre association ; sans cesse, nous dressons, préparons, répétons... Grâce aux années d’expérience, le niveau a bien augmenté et nous souhaitons aujourd’hui exporter notre savoir-faire, nous voulons affronter l’œil d’un large public» confie Guillaume, l’un des piliers de l’association.
Aujourd’hui, les «Comtois en folie» participent à la fête du cheval à Houtaud, jouent le spectacle à Maîche. Ils accueillent également des groupes à domicile. Très ouverts sur les autres arts, ils ont récemment accueilli dans de toutes nouvelles installations, un petit festival d’art maîchois : zumba, danse de salon, cirque et art équestre ont rempli trois heures de cabaret.
Prochaines étapes envisagées : se faire connaître du public citadin puis obtenir la consécration en Avignon pour le très réputé festival d’art équestre «les Crinières d’or» en janvier 2013.
En attendant de les admirer en vrai, vous pouvez les découvrir et les soutenir sur le site «Energie jeune» où ils ont soumis leur projet au Clap (comité local d’aide aux projets).
Manon Abu Shariah
Ils sont une petite dizaine, élèves au collège, en BTS ACSE (analyse et conduite des systèmes d’exploitation) ou en bac pro mécanique, enfants du pays et paysans de père en fils et filles. Vivant depuis leur tendre enfance au milieu de vaches et des gros chevaux blonds, ils finissent par faire ce qu’ils veulent de ces «lourds» que sont les Traits comtois : sauter en l’air comme des ballerines, piaffer comme des pur-sang, se cabrer au moindre geste.
C’est alors que naît l’association. Les garçons réparent, bricolent, font les plans des futures écuries, président les réunions. Les filles sont plus à l’aise avec les papiers, la rédaction des comptes-rendus et des courriers, la création de costumes et décors… autour des chevaux nés et élevés dans la ferme. La troupe se mobilise, crée des numéros, se renouvelle et évolue au gré des vies de chacun. Des heures de travail bénévoles et la passion commune mène la troupe à se produire en public. «En version "non stop", c’est comme une vraie vie de famille qui s’est construite dans notre association ; sans cesse, nous dressons, préparons, répétons... Grâce aux années d’expérience, le niveau a bien augmenté et nous souhaitons aujourd’hui exporter notre savoir-faire, nous voulons affronter l’œil d’un large public» confie Guillaume, l’un des piliers de l’association.
Aujourd’hui, les «Comtois en folie» participent à la fête du cheval à Houtaud, jouent le spectacle à Maîche. Ils accueillent également des groupes à domicile. Très ouverts sur les autres arts, ils ont récemment accueilli dans de toutes nouvelles installations, un petit festival d’art maîchois : zumba, danse de salon, cirque et art équestre ont rempli trois heures de cabaret.
Prochaines étapes envisagées : se faire connaître du public citadin puis obtenir la consécration en Avignon pour le très réputé festival d’art équestre «les Crinières d’or» en janvier 2013.
En attendant de les admirer en vrai, vous pouvez les découvrir et les soutenir sur le site «Energie jeune» où ils ont soumis leur projet au Clap (comité local d’aide aux projets).
Manon Abu Shariah
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express
Des mentions au concours de piano d'Epinal
mai 2022
Des élèves bisontins de Christine Lambert ont participé au programme piano du concours artistique d'Epinal, le 3 avril. Avec des belles prestations puisque Minh-Long Ngo a obtenu la mention bien à l'unanimité, Leila Boudot et Ernad Husejinovic ont obtenu la mention très bien et Anh-Khoa Ngo la mention très bien à l'unanimité.
Marion Roch rend hommage aux soignants
juillet 2020
La Bisontine Marion Roch vient de faire paraître "Les 1000 pieuvres" chanson dédiée aux soignants, auxquels tous les profits générés seront reversés. Une chanson écrite en deux étapes : en 2016, elle découvre le quotidien des soignants lorsqu'elle accompagne pendant 5 mois sa grand-mère à l'hôpital. Début 2020, lorsqu'on parle une fois de plus des conditions difficiles des soignants, elle reprend ses idées, recueille des témoignages et écrit cette chanson. Sans se douter qu'elle allait sortir en pleine crise sanitaire, troisième référence inopinée de son texte. Disponible en single, à écouter et partager sur youtube.
« Citadelle »
décembre 2019
On vous laisse apprécier ici le nouveau morceau electro de l'artiste bisontin Sorg, "Citadelle", hommage à sa ville, accompagné d'une réalisation 100% locale : morceau produit et mixé par Sorg, masterisé par Thomas Fournier, visuel réalisé par Ornella Salvi, prises drones par Jean-Philippe Putaud (Apollo77) et réalisation et montage de la vidéo par Christophe Roy (MS Studio / Mesh Photography).
Great hat persévère
novembre 2018
Après "Namantius", l’association de cinéma bisontine a poursuivi ses activités, en tournant notamment "Clair obscur", un court métrage sur Gustave Courbet lors de son retour à Ornans pour peindre son tableau "Enterrement à Ornans". Originalité du projet, il a été mené en partenariat avec l'école de musique Amuso qui joue la musique en direct lors des projections."Clair obscur" est passé par un financement participatif sur ulule.
#Quiproquo
octobre 2018
Un film d'action de 26 mn tourné à Besançon à partir d'une histoire vraie. Le 3e court métrage de Liil Serge Mbeutcha est dans son genre une réussite : scènes d'action très pros, images et montage soignés. Armé de l'enthousiasme et du dynamisme permettant de franchir les obstacles compliqués qui émaillent toute réalisation cinéma, le jeune homme est près pour se lancer dans le long. Trailer ici. Voir tout
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