août 2016
Inclose, l'electro organique
Membre fondateur de l'association Thé chaud, il s'est fait un nom à Besançon. Il est aujourd'hui à Paris mais revient régulièrement animer la scène locale.
Photo Yves Petit
Eté chaud pour Inclose : après plusieurs dates parisiennes (Nuba, Faust, fête de la musique, Pop-Up du Label) ou bordelaise (Iboat), il revient dans la région pour les festivals Little town (6 août à Cramans) et Détonation (30 septembre à Besançon). Dans le même temps, il mène à bien son 2e EP, un projet qui lui tient à cœur. «C’est un tournant pour moi parce que c’est la première fois que j’ai des moyens pour tout faire en studio, avec des musiciens pour enregistrer certaines parties. J’ai eu la chance de signer avec le label Dealer de musique. Il y a un budget pour tout ce qui gravite autour de la sortie : clip, com… L'EP va sortir single par single jusqu’en octobre, en numérique parce que c’est quand même compliqué de proposer un support physique actuellement. Il vaut mieux mettre l’argent pour marquer la sortie que sur un produit qui risque de passer inaperçu». Composer, mixer, masteriser, réfléchir au projet et à sa sortie, monter le live qui va avec lui prend «énormément de temps», mais il aime fignoler.
A 21 ans, le jeune Bisontin a déjà fait du chemin. A l’origine de l’association Thé chaud avec quelques amis (dont les DJ Orient Xp ou Wilt) en 2012, Paul-Henry Vuillemin est aujourd’hui à Paris où il travaille dans un centre culturel. Musicalement, il est sur le même label que Møme. «J’ai un manager qui m’a boosté en même pas un an, c’est cool. A Paris, il y a beaucoup d’opportunités». Comme celle de collaborer avec d’autres artistes tels que l’Italien Mind Enterprises avec qui il a travaillé sur un single. Mais il n’oublie pas pour autant ses origines. «J’aime ma ville, j’y ai pas mal d’amis. Même si ces derniers temps, beaucoup de ceux du Thé chaud ont dû bouger, ça reste un groupe solide. Et à Besançon, il y a un potentiel et un vrai dynamisme associatif. J’aime y revenir. Quand on habite Paris, ça permet de respirer !»
Musicalement, l’atout de 10 ans de piano au conservatoire lui permet de combiner électronique et instruments organiques. «Quand j’ai voulu faire de la musique seul, je ne savais pas trop comment me lancer alors je me suis intéressé à l’electro, j’ai acheté des machines, je me suis mis à la MAO. Ensuite j’ai progressé avec le Thé chaud et de nombreuses soirées entre amis où l’on s’intéressait beaucoup à la musique electro. J’aime bien la musique dansante en général. J’aime bien allier une base musicale à la musique de club. Aujourd’hui, j’ai envie de travailler sur ce mélange entre house, disco et ma formation classique». Sa présentation sur soundcloud annonce un multi-instrumentiste combinant organique et électronique dont la musique évolue entre techno, ambient, future techno et electronica. «J’ai deux sortes de prestations : des sets où je passe mes compos et d’autres morceaux et des lives où je joue avec des musiciens. J’espère aller davantage vers ce format. C’est un des objectifs du EP qui va sortir. Il sera très instrumental et un peu plus pop, toujours dansant et possible à jouer avec des musiciens».
S.P.
A 21 ans, le jeune Bisontin a déjà fait du chemin. A l’origine de l’association Thé chaud avec quelques amis (dont les DJ Orient Xp ou Wilt) en 2012, Paul-Henry Vuillemin est aujourd’hui à Paris où il travaille dans un centre culturel. Musicalement, il est sur le même label que Møme. «J’ai un manager qui m’a boosté en même pas un an, c’est cool. A Paris, il y a beaucoup d’opportunités». Comme celle de collaborer avec d’autres artistes tels que l’Italien Mind Enterprises avec qui il a travaillé sur un single. Mais il n’oublie pas pour autant ses origines. «J’aime ma ville, j’y ai pas mal d’amis. Même si ces derniers temps, beaucoup de ceux du Thé chaud ont dû bouger, ça reste un groupe solide. Et à Besançon, il y a un potentiel et un vrai dynamisme associatif. J’aime y revenir. Quand on habite Paris, ça permet de respirer !»
Musicalement, l’atout de 10 ans de piano au conservatoire lui permet de combiner électronique et instruments organiques. «Quand j’ai voulu faire de la musique seul, je ne savais pas trop comment me lancer alors je me suis intéressé à l’electro, j’ai acheté des machines, je me suis mis à la MAO. Ensuite j’ai progressé avec le Thé chaud et de nombreuses soirées entre amis où l’on s’intéressait beaucoup à la musique electro. J’aime bien la musique dansante en général. J’aime bien allier une base musicale à la musique de club. Aujourd’hui, j’ai envie de travailler sur ce mélange entre house, disco et ma formation classique». Sa présentation sur soundcloud annonce un multi-instrumentiste combinant organique et électronique dont la musique évolue entre techno, ambient, future techno et electronica. «J’ai deux sortes de prestations : des sets où je passe mes compos et d’autres morceaux et des lives où je joue avec des musiciens. J’espère aller davantage vers ce format. C’est un des objectifs du EP qui va sortir. Il sera très instrumental et un peu plus pop, toujours dansant et possible à jouer avec des musiciens».
S.P.
Le suivresoundcoud
DatesLe 6 août au Little town festival, Cramans
Le 30 septembre à Détonation, Besançon
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express
Des mentions au concours de piano d'Epinal
mai 2022
Des élèves bisontins de Christine Lambert ont participé au programme piano du concours artistique d'Epinal, le 3 avril. Avec des belles prestations puisque Minh-Long Ngo a obtenu la mention bien à l'unanimité, Leila Boudot et Ernad Husejinovic ont obtenu la mention très bien et Anh-Khoa Ngo la mention très bien à l'unanimité.
Marion Roch rend hommage aux soignants
juillet 2020
La Bisontine Marion Roch vient de faire paraître "Les 1000 pieuvres" chanson dédiée aux soignants, auxquels tous les profits générés seront reversés. Une chanson écrite en deux étapes : en 2016, elle découvre le quotidien des soignants lorsqu'elle accompagne pendant 5 mois sa grand-mère à l'hôpital. Début 2020, lorsqu'on parle une fois de plus des conditions difficiles des soignants, elle reprend ses idées, recueille des témoignages et écrit cette chanson. Sans se douter qu'elle allait sortir en pleine crise sanitaire, troisième référence inopinée de son texte. Disponible en single, à écouter et partager sur youtube.
« Citadelle »
décembre 2019
On vous laisse apprécier ici le nouveau morceau electro de l'artiste bisontin Sorg, "Citadelle", hommage à sa ville, accompagné d'une réalisation 100% locale : morceau produit et mixé par Sorg, masterisé par Thomas Fournier, visuel réalisé par Ornella Salvi, prises drones par Jean-Philippe Putaud (Apollo77) et réalisation et montage de la vidéo par Christophe Roy (MS Studio / Mesh Photography).
Great hat persévère
novembre 2018
Après "Namantius", l’association de cinéma bisontine a poursuivi ses activités, en tournant notamment "Clair obscur", un court métrage sur Gustave Courbet lors de son retour à Ornans pour peindre son tableau "Enterrement à Ornans". Originalité du projet, il a été mené en partenariat avec l'école de musique Amuso qui joue la musique en direct lors des projections."Clair obscur" est passé par un financement participatif sur ulule.
#Quiproquo
octobre 2018
Un film d'action de 26 mn tourné à Besançon à partir d'une histoire vraie. Le 3e court métrage de Liil Serge Mbeutcha est dans son genre une réussite : scènes d'action très pros, images et montage soignés. Armé de l'enthousiasme et du dynamisme permettant de franchir les obstacles compliqués qui émaillent toute réalisation cinéma, le jeune homme est près pour se lancer dans le long. Trailer ici. Voir tout
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