Adrien Buso vient de créer son autoentreprise dans l’audiovisuel : il réalise des films dans le domaine de la communication comme il vient de le faire pour l’extension du Mégarama à Valentin. Le statut lui permet de tester les possibilités sans engager des frais trop élevés. Il a pris cette décision après un service civique de 8 mois au Crij, dans son domaine de prédilection.
«En termes professionnels je n’ai pas réalisé autant de vidéos que j’aurais voulu mais malgré tout, ce service civique m’a servi, notamment pour l’aspect pluridisciplinaire et des travaux en infographie, en vidéo, en informatique. Avec un côté système D formateur puisque dans l’audiovisuel, il faut s’adapter en permanence. J’ai aussi suivi une formation citoyenne et le PSC1 (formation au premier secours). Pour se donner des compétences, tout est bon à prendre. Surtout, j’ai pu appliquer des choses que j’avais apprises auparavant».
Auparavant, c’est en licence professionnelle production et diffusion télévisuelles autonomes suivie à St-Raphaël et à l’Université de Corte où il a passé un diplôme d'université en créations et techniques audiovisuelles et cinématographiques (spécialité spécialisations techniques).
A 24 ans, ce Bisontin qui possède également un DUT informatique (services et réseaux de communication) veut donc poursuivre un parcours dans un domaine qui le passionne.
«Quand on s’oriente, on se demande ce que l’on serait prêt à faire pendant 40 ans. Je suis d’une famille cinéphile, j’ai toujours été attiré par l’univers télévisuel et même si mes études m’ont aussi permis de mesurer la précarité d’une profession où les postes sont rares, j’ai envie de continuer dans cette voie. Le service civique m’a également servi à ça : prendre une année de recul en restant dans ce que j’aime faire».
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